- Startpagina tijdschrift
- N° 206 (décembre 2021)
- Flore des populations de frêne dimorphe (Fraxinus dimorpha Coss.& Durieu) dans l'Atlas saharien (Monts des Ksours, Algérie Occidentale)
Weergave(s): 3160 (35 ULiège)
Download(s): 1018 (3 ULiège)
Flore des populations de frêne dimorphe (Fraxinus dimorpha Coss.& Durieu) dans l'Atlas saharien (Monts des Ksours, Algérie Occidentale)
Documenten bij dit artikel
Bijlagen
Résumé
Fraxinus dimorpha est une espèce de montagne qui se présente souvent sous forme de petites sous-populations, en particulier dans les monts des Ksours (sud-ouest de l'Algérie). Ce travail porte sur l'étude systématique de la flore et la signification phytogéographique et biologique de la diversité floristique des peuplements de Fraxinus dimorpha dans cette région.
Un total de 188 espèces appartenant à 40 familles et 145 genres a été identifié, dont seulement 6 figurent sur la liste des espèces protégées en Algérie. L'étude du spectre biogéographique des espèces inventoriées montre la dominance des taxons méditerranéens (66,4 %). L'analyse des types biologiques révèle la prédominance des thérophytes sur les autres formes de vie (36,7 %).
Abstract
Fraxinus dimorpha is a mountain species which often occurs in the form of small sub-populations, especially in the Ksour montains (South West Algeria). This work relates to the systematic study of the flora and the phytogeographic and biological significance of the floristic diversity of Fraxinus dimorpha stands in this region. A total of 188 species belonging to 40 families and 145 genera has been identified, of which only 6 appear in the list of protected species in Algeria. The study of the biogeographic spectrum of the inventoried species shows the dominance of Mediterranean taxa (66.4 %). Analysis of biological types indicates the predominance of therophytes over other forms of life (36.7 %).
Inhoudstafel
INTRODUCTION
1Le frêne dimorphe (Fraxinus dimorpha Coss. & Durieu) fait partie de la famille des Oléacées. C’est une espèce globalement évaluée comme en danger, elle est exposée à de nombreuses menaces à impact moyen à élevé, en particulier la collecte impitoyable à des fins domestiques et commerciales, le surpâturage, la déforestation… (RANKOU et al., 2017).
2Le frêne dimorphe est une espèce de la Méditerranée occidentale, endémique de l’Afrique du Nord avec une aire étendue au Maroc et en Algérie (FENNANE & IBN TATTOU, 2005, 2012). Il occupe une niche écologique particulière dans le Haut Atlas (Maroc), où il est localisé entre 1 200 et 2 000 m d’altitude, généralement dans les bas de pentes rocailleuses, les fonds de vallées et les ravins. Il supporte des températures allant de -20 °C en hiver à +40 °C en été (ADERGHAL et al., 2019).
3En Algérie, on trouve cette essence dans l'Aurès (notamment dans les forêts des oued Ensigha, oued Boulgem et oued Tamza) et dans l'Atlas saharien (BOUDY, 1950; CHAFAI, 2016). Dans l’Aurès, l’espèce se trouve généralement sur les rochers, entre 1 100 et 1 600 m (BEGHAMI et al., 2013), où la pluviométrie varie entre 400 et 600 mm, et les températures moyennes minimales oscillent entre 0 °C et 2 °C (ABDESSEMED, 1984).
4Cette espèce colonise aussi bien les sols profonds que les sols les plus squelettiques et des substrats très variés (grès, calcaires, etc.). La majorité des peuplements sont très dégradés et se présentent presque toujours sous forme de taillis (CHAFAI, 2016). On retrouve le frêne en peuplements purs et mélangés, où il se mélange à Quercus ilex, Juniperus thurifera, Pistacia terebinthus, Juniperus phoenicea subsp. phoenicea... (ABDESSEMED, 1984).
5Le frêne est un arbre à nombreux usages. Il fournit plusieurs produits comme du bois de feu, du bois d’œuvre et du bois de construction (perches et poutres), des produits alimentaires et médicinaux, des substances tinctoriales et du fourrage (ADERGHAL et al., 2019).
6Malgré son importance écologique et sociale, ainsi que son inscription sur la liste rouge de l’UICN comme espèce menacée (RANKOU et al., 2017), les études portant sur l’écologie de cette espèce sont rares, surtout en Algérie. Dans ce contexte s’inscrit l’objectif principal de la présente contribution qui vise la connaissance écologique de l’habitat de cette essence dans les monts des Ksours (Sud-Ouest algérien).
APPROCHE MÉTHODOLOGIQUE
Zone d’étude
7Les monts des Ksours font partie de l’Atlas saharien qui s'allonge sur 700 km (Fig. 1); ils en constituent la partie occidentale extrême (RAHMANI et al., 2017; HABI et al., 2020). Les faciès géologiques qui dominent largement sont les formations de grès (Jurassique et Crétacé), mais ils sont généralement argileux et entrecoupés de marnes (DERDOUR et al., 2017). Les reliefs montagneux des monts des Ksours sont occupés par des formations préforestières (MOSTEFAI & GRENOT, 2006). Ce sont des formations arbustives, clairsemées, de Quercus ilex, Pinus halepensis, Juniperus phoenicea et J. oxycedrus, Fraxinus dimorpha… (DESPOIS, 1959; HADJADJ et al., 2019).
Figure 1. Localisation de la zone d’étude
Inventaire floristique
8L’inventaire du cortège floristique des populations de Fraxinus dimorpha repose sur la sélection de stations écologiquement homogènes d’une aire minimale de 100 m2 (GOUNOT, 1969; DJEBAILI, 1984). Au total 84 relevés floristiques ont été installés et, dans chaque relevé, une liste de toutes les espèces rencontrées a été établie.
9L'identification botanique des espèces collectées a été faite sur la base de l’index synonymique et bibliographique de la flore nord-africaine (DOBIGNARD & CHÂTELAIN, 2010-2013).
Types biologiques et biogéographiques
10Les types biogéographiques des espèces inventoriées sont définis selon QUÉZEL & SANTA (1962-1963) et DOBIGNARD & CHÂTELAIN (2010-2013).
11Regrouper les taxons selon leur mode de croissance ou leur morphologie constitue un élément important pour la description physionomique de la végétation car ces caractères traduisent les adaptations évolutives des plantes à leur environnement (ADI et al., 2016). Pour les types biologiques, la classification à laquelle nous nous sommes référés est celle de RAUNKIAER (1934), basée sur la position qu’occupent les méristèmes en dormance par rapport au niveau du sol durant la saison difficile et se subdivise ainsi en phanérophyte, chamaephyte, hémicryptophyte, géophyte et thérophyte.
Espèces protégées
12Parmi les espèces inventoriées certaines sont protégées en Algérie. La liste de ces espèces est établie selon le décret exécutif n° 12-03 du 10 safar 1433 (correspondant au 4 janvier 2012) fixant la liste des espèces végétales non cultivées et protégées en Algérie (J.O.R.A., 2012). Cette liste recense 454 espèces réparties sur 77 familles botaniques (I.N.R.F., 2015).
Indice de perturbation
13La perturbation provoquée par la pression anthropique et les aléas climatiques sur les peuplements de frêne dimorphe est calculée à travers l’indice de perturbation (IP) de LOISEL & GAMILA (1993) qui s’exprime par la formule suivante :
RÉSULTATS ET DISCUSSIONS
Écologie des populations de frêne dimorphe
14Dans les monts des Ksours, Fraxinus dimorpha pousse dans les rochers calcaires ou siliceux, il préfère les habitats ouverts et ensoleillés, mais on peut le trouver dans des habitats mi-ombragés entre 1 800 m et 2 200 m d’altitude. Au parc national de Djebel Aissa, nous signalons la présence de l’espèce à environ 1 500 m d’altitude, aux lieux dits Ras Ettwil et oued Ouled Benzziane (Fig. 2).
15Fraxinus dimorpha est très dispersé dans la plupart de ses stations. L'abondance de l'espèce varie de rare à occasionnel et la plupart des sous-populations sont très fragmentées. Celles-ci sont éparpillées et constituées de 10 à 20 arbres / ha, ce qui rejoint les remarques antérieures de GENIN et al. (2016).
Figure 2. Frêne dimorphe (a) à 1524 m d’altitude (Djebel Aissa)
Composition floristique
16Au total, 188 espèces appartenant à 40 familles et 145 genres ont été identifiées. Les familles des Asteraceae et Poaceae sont les plus représentées avec respectivement 37 et 22 espèces, ce qui correspond à 31,4 % de la flore inventoriée. Les autres familles sont moins représentées et renferment entre treize à une espèce(s).
17Cette dominance des Asteraceae et Poaceae confirme le fait déjà signalé par OZENDA (1991) dans les zones arides et semi-arides de la Méditerranée.
18En Algérie, ce constat est signalé à titre d’exemple par GUIT & NEDJIMI (2019) et GUERINE & HADJADJ (2019). Au Maroc et en Tunisie, il est évoqué par HSEINI et al. (2007), FENNANE & IBN TATTOU (2005, 2012), EL MOKNI & HÉDI EL AOUNI (2011), GAMOUN et al. (2012).
Structure verticale (strates de hauteur)
19Selon DELASSUS (2015), l’étude de la structure verticale du cortège floristique a permis de distinguer les strates suivantes:
Strate arbustive supérieure
20Fraxinus dimorpha se trouve accompagné dans la strate arbustive supérieure de Juniperus oxycedrus subsp. rufescens, J. phoenicea subsp. phoenicea, Pistacia atlantica, Quercus ilex subsp. ballota, Phillyrea latifolia, Acer monspessulanum subsp. monspessulanum, Crataegus monogyna.
Strate arbustive basse
21Cette strate est limitée à quelques espèces telles que Pistacia terebinthus, Berberis hispanica, Colutea arborescens, Coronilla juncea subsp. pomelii, Chrysojasminum fruticans, Rhamnus alaternus subsp. alaternus, Rhamnus lycioides subsp. oleoides, Rosa pouzinii, Rosmarinus officinalis, Amelanchier ovalis, Asparagus acutifolius, Cistus creticus subsp. eriocephalus, Cotoneaster nummularius.
Strate herbacée
22La strate herbacée est la plus diversifiée, elle est composée de plusieurs espèces telles que Alyssum scutigerum, Anacyclus pyrethrum, Anthemis cretica subsp. columnae, Arabis auriculata, Biscutella auriculata, Bupleurum atlanticum subsp. algeriense, Capsella bursa-pastoris, Carduus chevallieri, Convolvulus cantabrica, Cynoglossum cheirifolium, Diplotaxis virgata, Echinops bovei, Erodium cicutarium, Erucastrum varium, Euphorbia falcata, Filago pyramidata, Fumaria parviflora, Hippocrepis multisiliquosa, Lamium hybridum, Linaria simplex, Lithospermum arvense, Veronica praecox, Torilis leptophylla, Thlaspi perfoliatum, Taeniatherum caput-medusae, Telephium sphaerospermum, Sideritis montana subsp. ebracteata, Silene italica, S. rouyana, Catananche caerulea, Elaeoselinum fontanesii, Galium lucidum, Galium tunetanum, Muscari comosum, Marrubium peregrinum, Melica magnolii, Stipa parviflora, Avena filifolia, Avena sterilis, Teucrium thymoides...
Types biologiques
23Le spectre biologique de la végétation étudiée suit le schéma suivant : thérophytes (36,7 %.) > hémicryptophytes (26,6 %) > chamaephytes (19,7 %) > nanophanérophytes (6,9 %) > phanérophytes (4,3 %) > géophytes (3,7 %) > phanérophytes lianes (2,1 %) (Fig.3).
Figure 3. Spectre biologique de la flore inventoriée
24Cette « thérophytisation » est un trait essentiel de la végétation en zone aride (DAGET, 1980), ce phénomène constituant une stratégie d’adaptation vis-à-vis des conditions défavorables et une forme de résistance aux rigueurs climatiques (ADI et al., 2016; GHAFOUL et al., 2019).
Spectre biogéographique
25Le spectre biogéographique de la zone d’étude suit le schéma suivant (Fig. 4): méditerranéen (66,4 %) > large répartition et cosmopolite (16,8 %) > endémique (12 %) > nordique (4,8 %). Il montre la prédominance des espèces dont l’aire biogéographique est limitée au bassin méditerranéen (ADI et al., 2016).
Figure 4. Spectre phytogéographique
Espèces protégées
26Comme déjà signalé en haut, la liste des espèces protégées en Algérie contient 454 espèces appartenant à 77 familles botaniques.
27Parmi les espèces accompagnant le frêne dimorphe dans les monts des Ksours occidentaux, seulement 6 espèces figurent dans cette liste, soit 1,3 %. Ces espèces sont Artemisia atlantica, Teucrium luteum subsp. flavovirens, Ononis natrix subsp. polyclada, Juniperus oxycedrus subsp. rufescens, J. phoenicea subsp. phoenicea, Pistacia atlantica.
28Le frêne dimorphe, en dépit du fait qu’il figure dans la liste rouge de l’UICN, n’est pas intégré à cette liste des espèces protégées en Algérie. Cette situation confirme le manque flagrant d’études écologiques sur cette espèce et rejoint notre problématique traitée lors de cette contribution.
Indice de perturbation
29L’indice de perturbation IP calculé pour notre zone d’étude est de 56,4 %, ce qui traduit une perturbation moyenne des populations à Fraxinus dimorpha dans les monts des Ksours. Ce résultat est lié à sa localisation principale au niveau des versants rocailleux à forte pente, généralement dépassant 25 %.
REMARQUES FINALES
30En Algérie, Fraxinus dimorpha ne figure pas parmi les espèces protégées par le décret exécutif n° 12 du 4 janvier 2012 fixant la liste des espèces végétales non cultivées et protégées. Nous suggérons que l'espèce soit ajoutée à cette liste.
31En outre, cette essence précieuse participe à l’équilibre écologique des monts des Ksours occidentaux, d’où l’importance de l’intégrer dans les programmes de réhabilitation des espèces forestières.
REMERCIEMENTS
32Les auteurs de l’article sont très reconnaissants aux cadres de la conservation des forêts de la wilaya de Naâma (Algérie).
_____________________________________________________________________________
Bibliographie
ABDESSEMED K., 1984. Le Cèdre de l'Atlas dans les massifs de l'Aurès et du Belezma: étude phytosociologique et problèmes de conservation et d'aménagement. Thèse Doct. Fac., St-Jérôme, Marseille, 202 pp.
ADERGHAL M., GENIN D., HANAFI A., LANDEL P.A. & MICHON G., 2019. L’émergence des spécificités locales dans les arrière-pays méditerranéens. Les Impromptus du LPED 5: 30-51.
ADI N., AMRANI S., HIRCHE A., BOUGHANI A. & NEDJRAOUI D., 2016. Diversité biologique et phytogéographique pour des niveaux différents de salinité dans la région du chott Ech-Chergui (sud-ouest de l’Algérie). Revue d’Ecologie (Terre et Vie) 71 (4): 342-355.
BEGHAMI Y., KALLA M., VELA E., THINON M. & BENMESSAOUD H., 2013. Le Genévrier thurifère (Juniperus thurifera L.) dans les Aurès, Algérie: considérations générales, cartographie, écologie et groupements végétaux. Ecologia Mediterranea 39 (1): 17-30.
BOUDY P., 1950. Economie forestière nord-africaine, 2 - Monographies et traitements des essences forestières, fasc. II. Editions Larose, Paris, 878 pp.
CHAFAI C., 2016. Contribution à l’étude de la dynamique spatiale et de la biomasse du frêne dimorphe dans la cédraie de l’Ouled Yagoub, wilaya de Khenchela. Thèse Magister, Univ. Batna, 108 pp.
DAGUET Ph., 1980. Sur les types biologiques en tant que stratégie adaptative (cas des thérophytes). In: Recherches d'écologie théorique, les stratégies adaptatives, Maloine, Paris 9: 89-114.
DELASSUS L., 2015. Guide de terrain pour la réalisation des relevés phytosociologiques. Conservatoire botanique national de Brest, 25 pp.
DERDOUR A., BOUANANI A. & BABAHAMED K., 2017. Hydrological modeling in semi-arid region using hec-hms model. Case study in Ain Sefra watershed, Ksour mountains (sw-Algeria). J. Fundam. Appl. Sci. 9 (2): 1027-1049.
DESPOIS J., 1959. L’Atlas saharien occidental d’Algérie : « ksouriens » et pasteurs. Cahiers de géographie du Québec 3(6): 403-415.
DJEBAILI S., 1984. Recherches phytosociologiques et phytoécologiques sur la végétation des hautes plaines steppiques et de l’Atlas saharien algérien. OPU, Alger, 177 pp.
DOBIGNARD A.C. & CHÂTELAIN C., 2010-2013. Index synonymique de la flore d’Afrique du Nord, 1-5. Conservatoire et jardins botaniques éd., Genève, 458pp., 428pp., 449pp., 431pp., 465pp.
EL MOKNI R. & HÉDI EL AOUNI M., 2011. Découverte de la grande camomille, Tanacetum parthenium (Asteraceae), pour la flore de Tunisie : une adventice naturalisée. Fl. Medit. 21: 299-303.
FENNANE M., IBN TATTOU M., 2005. Flore vasculaire du Maroc, inventaire et chorologie. Trav. Inst. Sci., Rabat, sér. Bot. (1): 37- 483.
FENNANE M., IBN TATTOU M., 2012. Statistiques et commentaires sur l'inventaire actuel de la flore vasculaire du Maroc. Bulletin de l’Institut scientifique de Rabat, section Sciences de la Vie 34 (1): 1-9.
GAMOUN M., OULED BELGACEM A., HANCHI B., NEFFATI M. & GILLET F., 2012. Effet du pâturage sur la diversité floristique des parcours arides du Sud tunisien. Revue d’Ecologie (Terre et Vie) 67: 271-282.
GENIN D., CROCHOT C., M’SOU S., ARABA A. & ALIFRIQI M., 2016. Meadow up a tree: feeding flocks with a native ash tree in the Moroccan mountains. Pastoralism: Res. Policy Practice 11: 1-12.
GHAFOUL M., DELLAL A., LATRECHE A. & HADJADJ K., 2019. The study of desertification in Algerian steppic rangelands: case of the Djelfa region. Azarian J. Agric. 6 (5): 129-138.
GOUNOT M., 1969. Méthodes d'étude quantitative de la végétation. Masson Editeur, Paris, 314 pp.
GUERINE L. & HADJADJ K., 2019. Ecodendrometric Characterization of Atlas pistachio (Pistacia atlantica Desf.) Stands in the Ain Ben Khelil Region (South western Algeria), Indian Forester 145 (11): 1053-1061.
GUIT B. & NEDJIMPI B., 2019. Diversité floristique du mont Guerouaou (Sehary Guebli, région de Djelfa, Algérie) en fonction des paramètres stationnels. Ecologia Mediterranea 45 (2): 45-61.
HABI M., MORSLI B. & HAMEL M., 2020. Impact de la dynamique agricole sur la durabilité des périmètres agricoles traditionnels: cas des oasis des Monts du Ksour, Algérie. digitAR : 331-347.
HADJADJ K., BENAISSA M., MAHAMMEDI M., OURAGH A. & RAHMOUE A., 2019. Importance des plantes médicinales pour la population rurale du parc national de Djebel Aissa (Sud-Ouest algérien). Lejeunia, nouvelle série 199: 1-12.
HSEINI S., KAHOUADJI A., LAHSSISSENE H. & TIJANE M., 2007. Analyses floristique et ethnobotanique des plantes vasculaires médicinales utilisées dans la région de Rabat (Maroc occidental). Lazaroa 28: 93-100.
J.O.R.A., 2012. Journal officiel de la république algérienne n° 03 du 18 janvier 2012, 28 pp.
I.N.R.F., 2015. La flore d’Algérie, Alger, 44pp.
LOISEL R. & GAMILA H., 1993.Traduction des effets du débroussaillement sur les écosystèmes forestiers et pré-forestiers par un indice de perturbation. Ann. Soc. Sci. Nat. Archéol. de Toulon et Var 45: 123-132.
MOSTEFAI N. & GRENOT C., 2006. Constat sur la diversité du cheptel et la faune sauvage de la steppe algérienne, cas de la wilaya de Naâma. Bull. Soc. zool. France 131 (2): 77-96.
OZENDA P.,1991. Flore et Végétation du Sahara, 3ème édition, Editions du CNRS, Paris, 660 pp.
QUÉZEL P. & SANTA S., 1962-1963. Nouvelle flore de l’Algérie et des régions désertiques méridionales 1 et 2. Editions du CNRS, Paris, 1170 pp.
RAHMANI A., BOUANANI A., KACEMI A. & BABA HAMED K., 2017. Contribution of GIS for the survey and the management of water resources in the basin Benhandjir – Tirkount (Ain Sefra), mounts of Ksour, Saharian Atlas, Algeria. J. Fundam. Appl. Sci. 9(2): 829-846.
RANKOU H., M'SOU S., ALIFRIQUI M. & MARTIN G., 2017. Fraxinus dimorpha. The IUCN Red List of Threatened Species 2017:
e.T109366166A109366170, 15 pp.
RAUNKIAER C., 1934. The life forms of plants and statistical plant geography (collected papers translated to English). Clarendon Press, Oxford, 632 pp.